A Nadia, Frédérique, Myriam et les autres…
Merci de m’avoir fait découvrir la joie de l’écriture.
Non, vous ne m’avez pas fait découvrir l’écriture.
Je la pratique depuis plusieurs années maintenant.
Mais sans joie. Sans tristesse non plus.
Mais avec souffrance. Avec douleur.
Oui, Nadia, Paule, Roselyne et les autres…
Rappelez-vous. Notre première séance fut sur les bonheurs, le Bonheur !
Quelle joie de découvrir qu’écrire pouvait être un jeu léger et charmant.
Moi pour qui l’écriture ne fut jamais qu’une thérapie
Bonne, hélas, excellente même, hélas
Mais difficile et torturée.
C’est vrai, Nadia, Elisabeth, Francine et les autres…
l’écriture vint après des années d’analyse,
des années de thérapie plus ou moins fructueuses.
Des années dures et tendues.
L’écriture m’a aidé à sortir la douleur en moi, à l’exprimer, à la dire.
Mais elle se façonnait avec peine, avec souffrance.
et vous, Nadia, Jocelyne, Claudine et les autres…
m’avez fait parler des bonheurs, du bonheur.
Puis vous m’avez mis dans la peau d’une femme
D’une femme aimant les femmes !
Quelle découverte ! quelle aventure !
On pouvait écrire en jouant, en riant, en rêvant, en inventant !
Alors, Merci, Nadia, Mado, Romy et les autres…
de m’apporter chaque semaine trois heures de joie.
Merci de m’apporter chaque semaine trois heures de rires.
Merci de m’apporter chaque semaine trois heures de jubilation.
Merci de m’apporter chaque semaine trois heures de légèreté.
Merci de m’apporter chaque semaine trois heures de bonheur.